
Réf : 05/03/13 HS
Monsieur
Jacques LAPORTERIE
Directeur
des Ressources Humaines PNC
Roissy, le 28 mars 2005
Objet :
Nouvel uniforme
Monsieur le Directeur,
La Compagnie
a choisi le 05/04/05 comme date d’entrée en vigueur du port du nouvel
uniforme. Malgré nos alertes répétées, et une demande de report, il s’avère à
ce jour que bon nombre de PNC n’ont toujours pas reçu leur dotation, ou les
pièces retouchées. Aujourd’hui, nous constatons que les PNC, à qui l’on
demande de prendre rendez vous pour échanges, se voient attendre au-delà de 2
h, sans pour autant récupérer la pièce adéquate qui leur permettrait d’être en
règle dès le 05 avril. Bon nombre d’entre eux d’ailleurs, au vu des temps
d’attente préfèrent rentrer chez eux.
Comment imaginer
alors (comme l’écrit le responsable de la division AMO ) que cet uniforme
puisse contribuer à renforcer le sentiment et la fierté d’appartenir à Air
France ou encore que les règles qui nous aurons été communiquées soient
observées avec rigueur. Nous vous demandons donc d’organiser instamment une
distribution et un système d’échange dignes de ce que vous demandez à la
population PNC, afin d’aborder l’événement fort qui doit être mis en place
avec rigueur et attention.
Effectivement, si le PNC prend la peine
de se déplacer sur ses jours OFF ou en amont/aval d’un vol, il est
inadmissible que l’Entreprise n’ait pas su jouer tous ses atouts pour aborder
cette échéance si primordiale. Sans une intervention rapide de votre part,
l’intégralité du personnel ne disposera pas de la dotation nécessaire.
Si
l’Entreprise a délibérément choisi d’orienter sa politique sociale vers le
mépris du PNC alors l’UNAC prend acte. Il est bien entendu que nous ne
tolèrerons aucune sanction, l’Entreprise devant assumer ses responsabilités
face à cette pagaille.
Pour
l’UNAC
Hélène
SAVARY
La réponse bien que trop tardive ne s’est pas trop
fait attendre avec une "Info brève" du 29/03 annonçant l’ouverture très
élargie des salles d’échanges uniformes. Effort qui ne solutionne pas tous les
problèmes que nous rencontrons faute de pièces disponibles en échange
immédiat.