Tous les articles par adminUNAC

cdg_feb.jpg

GRAND FROID

GRAND FROID

Nous demandions, depuis le mois de mai, un assouplissement des règles de port des pièces chaudes de nos uniformes.

C’est enfin acté.

Pendant les embarquements, au large comme au contact, dans toutes les escales comme à Paris, le PNC féminin et masculin peut porter manteau, parka, gants, écharpe …

Sortez couverts. 

charriot.jpg

MC News décembre

MC NEWS décembre 2013

VENTES À BORD

Malgré notre opposition formelle, La Direction souhaite réinstaurer les ventes à bord sur les vols de la zone 5 du réseau MC.

De son côté, le 21 novembre dernier, Le CHSCT PNC, s’est également prononcé à l’unanimité contre le retour des ventes.

Rappelons, que le point 3.3 du protocole de sortie de crise prévoit que «les éventuelles modifications et/ou évolutions devront, à minima, tenir compte des contraintes de temps… ».

Il s’agit du temps de vol et bien évidemment du temps de repas des PNC à bord.


La bonne santé au travail est prioritaire pour l’UNAC. Dans ce cadre nous demandons aux chefs de cabine de faire respecter ce temps de repas tel que c’est prévu dans notre Accord Collectif ( §10.5 page 230)


RYTHME 4ON / 2 OFF / S6

Les mois avec congés (quelle que soit la durée de la période), le pnc en rythme 4 ON/2 OFF/S6 aura (sauf impossibilité de construction planning) les S longs positionnés avant les CA sans avoir à le demander en posant un DDA à l’instar des pnc qui ont un rythme 4ON/3OFF/S4.

En cas d’impossibilité, l’accord sera respecté et 2 jours en amont des CA seront positionnés.

Si l’impossibilité de construire le planning perdure, les 2 jours seront attribués en aval des CA.

télécharger le bulletin en pdf

carton-rouge.jpg

Préavis de grève

 

Vente de CityJet : 


Une faillite organisée par Air France ? 


 

Air France tente depuis 18 mois de vendre sa filiale irlandaise, lourdement déficitaire, CityJet. 

Air France est sur le point de conclure une vente bradée avec un redresseur étranger. 

Le simulacre de plan de relance présenté à ce jour ne prévoit aucun investissement, ni apport de capitaux importants. Air France qui devrait restructurer sa filiale, préfère la brader et fuir ses responsabilités. 

Cette vente est-elle une faillite organisée par Air France mais laissée aux bons soins du repreneur ? 

Les pilotes de CityJet refusent d’être envoyés à l’échafaud. 

Sauf à ce qu’un projet de relance convaincant en termes d’investissements, de garanties sur les contrats de travail et de maintien des droits soit présenté au Comité d’établissement du 19 décembre, les pilotes sous contrat de travail français procèderont à des débrayages entre le 24 décembre 00h01 et le 25 décembre 2013 23h59 heures de Paris. 


engrenages.jpg

Bases Province, Sortir du NO MAN’s LAND

 

BASES PROVINCE

SORTIR DU NO MAN’S LAND

 

UN TRACT « CHIANT », MAIS NÉCESSAIRE

À la suite d’une décision de justice, depuis le 1er décembre , la note de Direction BP-13.11 ne s’applique plus. Le PNC basé en province est, de fait, jeté dans le plus grand désarroi ne sachant plus quelles sont ses règles d’utilisation et de rémunération. La négociation en cours, pour intégrer par avenant un chapitre BP dans l’accord Collectif PNC, connaît quelques ratés alors qu’un nouveau référé est engagé par certains syndicats pour faire appliquer les règles de rémunération parisiennes. A ce stade, la date avancée pour cette action est calée sur le 16 janvier. Pour le moment, le PNC basé connaît une souffrance réelle.

Revenons à un des fondamentaux de l’action syndicale :

« le droit doit être un moyen, jamais une fin »

Ce n’est pas la victoire face au juge qui doit être l’objectif, mais ce sur quoi cette victoire débouche.

Mais quelle est donc la fin poursuivie?

PRÉSERVER LES PNC PARISIENS DU RISQUE DE CONTAGION ?

Ce risque n’existe pas. Les Bases Province ne sont pas une maladie, mais une activité spécifique pour laquelle des règles d’utilisation et de rémunération adaptées doivent être négociées et contractualisées, pour être sécurisées.

Les conditions d’utilisation des PNC LC sont différentes de celles des PNC MC, elles mêmes différentes de celles des PNC Antillais. Les PNC de ces différents régimes d’emploi devraient-ils avoir peur d’être « contaminés » par les règles des autres ?

Les règles de rémunération des PNC LC sont différentes de celles des PNC MC. Les PNC LC devraient-ils avoir peur d’être « contaminés » par la rémunération MC?

Jouer à se faire peur avec la contagion, c’est nier sa propre capacité de négociation et d’action.

L’activité des PNC basés en province correspond à des réalités sociales et économiques différentes de celles de Paris sur MC ou LC. La contagion étant un leurre, il n’est pas choquant à nos yeux que les règles BP soient différentes, du moment où un autre équilibre satisfait les PNC concernés.

Télécharger le bulletin complet en pdf


billard.jpg

BASES PROVINCE EN ATTENTE D’UN DÉNOUEMENT…

BASES  PROVINCE EN ATTENTE D’UN DÉNOUEMENT…

Ce jour se tient la dernière réunion de négociation de la Convention d’entreprise PNC. Pour mémoire, le 15 octobre la justice rendait son verdict sur l’application de la note de Direction qui régissait les bases province et la déclarait illégale, sur un motif : la rémunération et le temps de travail du PNC, où qu’il soit basé, devait être défini par accord, obligation inscrite dans cette Convention d’entreprise. 

Il y a 15 mois, elle a été dénoncée par l’entreprise et elle tombe ce jour à défaut d’être contractualisée par suffisamment de signataires.

Nous allons voir assez rapidement les stratégies des différents protagonistes : celle de la Direction dont on peut imaginer qu’elle consiste a exercer un chantage sur le SNPNC et l’UNSA : pas d’accord bases province, pas de convention. Celle des syndicats non représentatifs dans l’établissement, qui visent à ramener dans le champ de cette négociation le plus de sujets PNC et pouvoir négocier en tant que centrales sols les conditions d’emploi de notre corporation. Celle, pour le moins paradoxale de l’UNSA et du SNPNC, d’exiger des accords sans pour autant les signer.

En attendant nous sommes très conscients des inquiétudes que génère cette situation d’attente chez nos collègues « Bases province », insistons sur le terme « collègues », car quoi qu’en pensent certains, pour les avoir traités comme des parias, ils font bien partis de la grande famille PNC et à ce titre ils méritent eux aussi un encadrement contractuel de leurs règles de travail.

Nous militons depuis juillet 2011, pour qu’un accord Bases province voit le jour, il de notre point de vue trop facile de se cacher derrière l’engagement individuel et volontaire de nos collègues pour se satisfaire d’un vide contractuel et ou réglementaire, avec comme seules bornes l’application des minimas FTL et du code des transports.

Nos permanences sont ouvertes du lundi au vendredi de 9H00 à 18H00, n’hésitez pas à nous contacter au 01 48 64 49 29.

Oscar.jpg

Marketing « oscarisé » ? Pas cette fois !

Marketing « oscarisé » ? Pas cette fois !

Suite à la conciliation que nous avions lancée en juillet dernier, la Direction s’était engagée à trancher sur le plateau à la carte qu’elle escomptait laisser en 1/1, alors que nous avions contractualisé le passage en 2/3 comme l’ensemble des plateaux W/Y. 

Les arguments développés par les services marketing s’appuyaient sur un problème de taille, les plateaux à la carte 2/3 ne seraient pas appréciés par la clientèle, car trop petits et donc trop « cheap ».

Afin de se déterminer sur le choix entre maintenir un plateau 2/3 à la carte ou d’abandonner purement et simplement ce produit, l’entreprise s’est adressée à un cabinet d’audit extérieur, BVA, en le chargeant de mener une enquête objective auprès d’un panel de clients sélectionnés.

Nous avons été conviés ce jour à une réunion de débriefing sur cette enquête qualité. 

Quelle ne fût notre surprise quand BVA nous déclara que le plateau à la carte en 2/3 avait été un vrai succès auprès de nos clients. Premier argument retenu par les dégustateurs, l’avantage de la taille du plateau.

 

Comme quoi même les pros du marketing peuvent se tromper. 

Gageons que ces erreurs restent marginales et que fort de leur expérience ils continuent à nous expliquer ce qu’attendent nos passagers… ;-)