Archives pour la catégorie Bases province

groupe.jpg

Effectif PNC

EFFECTIF PNC

« Il y a deux sortes d’abus : ceux qui naissent de la logique d’un Régime et ceux qui naissent de son incohérence. »

Gilbert Cesbron.

Depuis plusieurs mois, la Direction se plaint d’un sureffectif PNC de l’ordre de 700 PNC.

Le 10 décembre, la Direction a annoncé vouloir transférer 115 personnels sol vers le PNC. Une vingtaine en provenance de Transavia où ils ont exercé quelques mois comme PNC et environ 90 autres PS qui avaient passé la sélection et sont « en attente de besoin PNC ».

Le 12 décembre, notre DGRH annonce en CCE un nouveau PDV PN ! ?

Sans prétention d’avoir inventé le « fil à couper l’eau chaude », à l’UNAC, on a un peu de mal à trouver une logique quelconque entre les constats et les actes de la Direction d’Air France.

Nous avions déjà du mal avec la lisibilité de la stratégie globale de la Compagnie, alors, lorsqu’on observe sa gestion de l’effectif PNC ça devient un vrai casse-tête chinois.

Soit c’est un art extrêmement élaboré et il faudra qu’elle nous l’explique, soit elle fait vraiment n’importe quoi… et ça devient très inquiétant.

Selon le principe mathématique du « rasoir d’occam » : « quand deux théories sont en compétition, celle qui est la plus simple est souvent la meilleure ».

Télécharger le bulletin complet en pdf

communiquer2-web.jpg

BP – Une pâle lueur d’espoir

UNE PÂLE LUEUR D’ESPOIR

Demain,jeudi 19 décembre,une nouvelle réunion de négociation sur les Bases Province est programmée.

L’espoir d’aboutir rapidement est infime, mais c’est un premier pas qui nous sort, au moins pour un temps, de la situation de blocage que nous connaissons.

Notre objectif est toujours de négocier et de contractualiser un chapitre Bases Province qui devra être intégré par avenant dans l’Accord Collectif PNC 2013 – 2016.

Télécharger l’information en pdf


cdg_feb.jpg

GRAND FROID

GRAND FROID

Nous demandions, depuis le mois de mai, un assouplissement des règles de port des pièces chaudes de nos uniformes.

C’est enfin acté.

Pendant les embarquements, au large comme au contact, dans toutes les escales comme à Paris, le PNC féminin et masculin peut porter manteau, parka, gants, écharpe …

Sortez couverts. 

engrenages.jpg

Bases Province, Sortir du NO MAN’s LAND

 

BASES PROVINCE

SORTIR DU NO MAN’S LAND

 

UN TRACT « CHIANT », MAIS NÉCESSAIRE

À la suite d’une décision de justice, depuis le 1er décembre , la note de Direction BP-13.11 ne s’applique plus. Le PNC basé en province est, de fait, jeté dans le plus grand désarroi ne sachant plus quelles sont ses règles d’utilisation et de rémunération. La négociation en cours, pour intégrer par avenant un chapitre BP dans l’accord Collectif PNC, connaît quelques ratés alors qu’un nouveau référé est engagé par certains syndicats pour faire appliquer les règles de rémunération parisiennes. A ce stade, la date avancée pour cette action est calée sur le 16 janvier. Pour le moment, le PNC basé connaît une souffrance réelle.

Revenons à un des fondamentaux de l’action syndicale :

« le droit doit être un moyen, jamais une fin »

Ce n’est pas la victoire face au juge qui doit être l’objectif, mais ce sur quoi cette victoire débouche.

Mais quelle est donc la fin poursuivie?

PRÉSERVER LES PNC PARISIENS DU RISQUE DE CONTAGION ?

Ce risque n’existe pas. Les Bases Province ne sont pas une maladie, mais une activité spécifique pour laquelle des règles d’utilisation et de rémunération adaptées doivent être négociées et contractualisées, pour être sécurisées.

Les conditions d’utilisation des PNC LC sont différentes de celles des PNC MC, elles mêmes différentes de celles des PNC Antillais. Les PNC de ces différents régimes d’emploi devraient-ils avoir peur d’être « contaminés » par les règles des autres ?

Les règles de rémunération des PNC LC sont différentes de celles des PNC MC. Les PNC LC devraient-ils avoir peur d’être « contaminés » par la rémunération MC?

Jouer à se faire peur avec la contagion, c’est nier sa propre capacité de négociation et d’action.

L’activité des PNC basés en province correspond à des réalités sociales et économiques différentes de celles de Paris sur MC ou LC. La contagion étant un leurre, il n’est pas choquant à nos yeux que les règles BP soient différentes, du moment où un autre équilibre satisfait les PNC concernés.

Télécharger le bulletin complet en pdf


billard.jpg

BASES PROVINCE EN ATTENTE D’UN DÉNOUEMENT…

BASES  PROVINCE EN ATTENTE D’UN DÉNOUEMENT…

Ce jour se tient la dernière réunion de négociation de la Convention d’entreprise PNC. Pour mémoire, le 15 octobre la justice rendait son verdict sur l’application de la note de Direction qui régissait les bases province et la déclarait illégale, sur un motif : la rémunération et le temps de travail du PNC, où qu’il soit basé, devait être défini par accord, obligation inscrite dans cette Convention d’entreprise. 

Il y a 15 mois, elle a été dénoncée par l’entreprise et elle tombe ce jour à défaut d’être contractualisée par suffisamment de signataires.

Nous allons voir assez rapidement les stratégies des différents protagonistes : celle de la Direction dont on peut imaginer qu’elle consiste a exercer un chantage sur le SNPNC et l’UNSA : pas d’accord bases province, pas de convention. Celle des syndicats non représentatifs dans l’établissement, qui visent à ramener dans le champ de cette négociation le plus de sujets PNC et pouvoir négocier en tant que centrales sols les conditions d’emploi de notre corporation. Celle, pour le moins paradoxale de l’UNSA et du SNPNC, d’exiger des accords sans pour autant les signer.

En attendant nous sommes très conscients des inquiétudes que génère cette situation d’attente chez nos collègues « Bases province », insistons sur le terme « collègues », car quoi qu’en pensent certains, pour les avoir traités comme des parias, ils font bien partis de la grande famille PNC et à ce titre ils méritent eux aussi un encadrement contractuel de leurs règles de travail.

Nous militons depuis juillet 2011, pour qu’un accord Bases province voit le jour, il de notre point de vue trop facile de se cacher derrière l’engagement individuel et volontaire de nos collègues pour se satisfaire d’un vide contractuel et ou réglementaire, avec comme seules bornes l’application des minimas FTL et du code des transports.

Nos permanences sont ouvertes du lundi au vendredi de 9H00 à 18H00, n’hésitez pas à nous contacter au 01 48 64 49 29.