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mini deezehost

2 Nouveautés au C.E.

Depuis aujourd’hui le C.E. vous propose deux nouveautés :

DEEZER : Vous pouvez vous abonner à deezer pour écouter de la musique en HD en illimité, et ce, aussi bien en ligne que hors connexion au tarif de 50€ pour l’année au lieu de 120€. Pour cela, il faut que vous passiez à la médiathèque et que vous achetiez une carte deezer qui vous permettra de vous connecter.

HOSTS : Les PN ont maintenant accès à environ 5000 hôtels du réseau ACCOR (Ibis, Mercure, Novotel, Sofitel…) en bénéficiant d’une subvention de 50 % sur des tarifs allant de 25 à 75% de réduction. Un nouvel onglet a fait son apparition dans la partie voyage sur le site du C.E. ligne.

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SACHANT QUE L’UNAC À LA QUALIF*

Depuis sa création, l’UNAC dirige le CE Lignes, en alternance avec les pilotes.

Un CE comme le nôtre est à l’image d’un paquebot, il peut aller loin, mais le diriger sur une longue distance comporte des risques. L’écueil majeur, étant de s’endormir aux commandes et de s’échouer.

La gestion rigoureuse est essentielle, nous l’avons mise en place, mais elle ne suffit pas ; il faut y ajouter du dynamisme, de la curiosité et toujours la volonté d’avancer.

Nous avons, année après année su nous renouveler, nous adapter aux nouveautés et aux contraintes pour proposer le meilleur de ce que peut produire un Comité d’Entreprise.

Nous avons toujours su créer, penser et adapter nos choix quand, forts de notre expérience, nous avons eu la volonté de nous remettre en question, en restant toujours au service des PNC que nous sommes.

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CE LIGNES : Chronique N° 7

C. E. LIGNES, LE LIEN

Vous connaissez notre CE pour son principe de redistribution des subventions, sa générosité, son altruisme.

Depuis le début de la mise en place de notre politique, il n’y a personne qui ne soit à l’écart de nos offres et possibilités, quel qu’elles soient : spectacles, bons, activités en escale, soirées de Noël, Colos, Vacances.

Tout ceci constitue un socle concret auquel il est important de rattacher une autre valeur, celle de l’esprit d’équipe, de corps, d’appartenance à un groupe.

Pour cela, ce sont des petits gestes, un soutien, une présence qui sont essentiels.Beaucoup d’entre nous passeront les fêtes de Noël loin de chez eux et de leur famille. Aussi, nous préparons pour chacun, une attention, mise à bord avec soin.

Pour aller plus loin encore que l’année dernière, nous souhaitons que tous les vols du 24 et du 25 décembre soient approvisionnés. (Période en cours de définition avec les services techniques de la Compagnie)

Le CE Lignes, par ce geste aussi, doux, sucré et chocolaté mais surtout partagé, reste profondément attaché à notre métier, à nos rythmes de vie uniques et construit entre nous tous et chaque jour, le lien.

Patricia KALFON

Secrétaire du C. E. Lignes

 

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Une Mutuelle à l’équilibre

Notre mutuelle est à l’équilibre, un bon signe en ces temps de « crise ». Alors qu’il existait plus de 3000 mutuelles il y a  dix ans, elles ne sont plus que de 300 à ce jour. Plusieurs raisons peuvent expliquer cette diminution, l’une des principales étant la capacité d’une gestion équilibrée, que nous sommes parvenus à réaliser jusqu’à présent, à la MNPAF.

L’exercice est compliqué, cependant il est réalisé depuis plus de 15 ans.

Face à un contexte difficile, à une forte pression de la direction, au non-recrutement de jeunes salariés pour compenser le mécanisme de vieillissement de notre population, et aux évolutions réglementaires, vos élus de l’alliance PN savent que beaucoup à faire. L’article paru dans « Le Monde » en date du 25 Avril 2014, passant à la loupe les frais de fonctionnement de 40 mutuelles, classe la MNPAF n° 1, et nous conforte dans poursuite de nos efforts.

Alors que la moyenne des frais de gestion de ces mutuelles est à 17,5%, la MNPAF plafonne à 6,7% ! Un record de bonne gestion dans le monde des mutuelles.

C’est le modèle de gestion de notre CE Lignes, qui prévaut chez vos élus « mutuelle » de l’Alliance PN. Notre objectif est de privilégier le reversement maximum de nos cotisations dans le remboursement de nos frais de santé, plutôt que de le dépenser dans d’alléchantes campagnes publicitaires ou autres dispendieux frais de fonctionnement.…

Notre gestion, associée à des réformes, ardemment défendues  par l’« Alliance PN » (SNPL & UNAC) a contribué à la réalisation d’excédents.

Cette relative bonne santé de notre mutuelle est nécessaire afin que nous puissions tous continuer de bénéficier d’une complémentaire santé de qualité. Une mutuelle dans laquelle les valeurs de solidarité, de non-discrimination et de non-sélection de la maladie doivent persister.

Il n’y aura pas de distribution d’excédents exceptionnels aux actionnaires, car la mutuelle n’en a pas, la mutuelle appartient à tous !! Le Conseil d’administration a décidé qu’une partie de ces derniers nous reviendra (sous forme d’un mois gratuit), en ne prélevant pas la cotisation du mois de novembre sur nos salaires.

Cette bonne gestion s’accompagne également de la volonté de ne pas augmenter les cotisations pour 2015, grâce notamment aux effets du réseau « SANTÉCLAIR », toujours plus sollicité par les adhérents et qui nous permet collectivement d’économiser dans un contexte d’accroissement des dépenses de nos frais de santé.

Rappelons-le encore, la MNPAF est une assurance complémentaire du régime général de la Sécurité Sociale, et ne peut rembourser que ce qui est pris en compte par cette même Sécurité Sociale.

Il n’échappe à personne que l’état se désengage de plus en plus des questions de santé, pour transférer la charge aux mutuelles, que la diminution des remboursements sur certains médicaments se généralise, que des produits jugés peu efficaces passent à un remboursement quasi nul.

C’est l’augmentation des impôts et taxes par nos gouvernements successifs qui a le plus pesé ces derniers temps. Alors que notre mutuelle était exonérée de charges, elle est passée à plus de 14 % en 5 ans. Cela a une réelle incidence sur les prestations servies (lorsque nous cotisions 100€ sans les taxes, la mutuelle reversait 89€. Aujourd’hui, sur une même cotisation de 100€, 79€ sont reversés).

La comparaison de nos prestations avec ce qui est reversé par les autres acteurs du marché reste flatteuse pour la MNPAF !

Ne nous satisfaisons pas pour autant, comme nous l’avons écrit plus haut, il reste encore beaucoup à faire.  La mutuelle Air-France se doit de rester à l’équilibre pour continuer de couvrir des frais de santé de plus en plus élevés. Vos élus se doivent de trouver des solutions pour qu’il subsiste le moins de restes à charge de tous les adhérents.

D’autre part, la Mutuelle se doit de conserver des tarifs compétitifs, tout en remboursant au mieux les différentes prestations, dans le cadre du contrat responsable et du contrat collectif et obligatoire. L’ ALLIANCE PN cherche de nouvelles offres et services adaptés aux nouveaux besoins.

Enfin, la MNPAF doit entamer son développement et devenir un acteur important dans l’aérien français en recherchant des partenariats pérennes.

Toutes ces problématiques sont déjà prises en compte afin que nous continuions à avoir une mutuelle solidaire avec les familles des salariés et anciens salariés d’Air France.

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une Brèche dans la digue

UNE BRÈCHE DANS LA DERNIÈRE DIGUE !

Au mois de janvier dernier, nous exposions nos craintes pour l’avenir de nos emplois PNC Air France dans un tract intitulé « la dernière digue ».

Nous expliquions alors que faute de contractualisation au niveau PNC, seule subsistait la digue dressée par l’accord PNT de création de Transavia qui limitait l’expansion forcenée de ce modèle basé sur une forme de dumping social.

Depuis l’annonce de la création de Transavia Europe, nos craintes ont pris corps. Pour autant, elles ne se résument pas à ce dernier avatar qui pour le PNC d’Air France n’est que la partie émergée de l’iceberg auquel se heurte notre collectivité.

LE CONTRAT DE DROIT FRANÇAIS

L’intérêt pour les entreprises low cost de s’affranchir du droit français porte sur plusieurs niveaux. Basées dans des pays avec une pression fiscale moins forte, le premier intérêt de ces compagnies porte sur l’imposition des résultats de l’entreprise. La cerise sur le gâteau étant bien sûr le coût de la main d’oeuvre en terme de salaires. Pour peu que le pays « hébergeur » ne soit pas particulièrement attaché aux droits sociaux des salariés, la seconde lame de bénéfices de ces entreprises porte sur les cotisations sociales ainsi que sur le contournement de la représentation des salariés. Pour autant, tous ces acteurs s’attachent à profiter des infrastructures nationales et ne comptent pas abandonner le « marché France ».

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