Demande de privatisation d’un WC pour les PN

Les élus ont demandé la privatisation des toilettes avant sur EJET et CRK pour les équi- pages. Le DOA n’ a pour l’instant donné qu’ un accord de principe pour les avions qui ont 2 toilettes et à conditions que les 2 soient en état de fonctionnement. Pour les CRJ 700 qui n‘ont qu’un seul WC, il a été demandé à ce que des annonces, en accord avec l’équipage, soient faites en salle pour que les passagers utilisent au maximum les toilettes de l’aéroport.

Le but est d’éviter les déplacements passagers en cabine et les risques de PAXI . Des kits toilettes sont à disposition des passagers et des PN pour effectuer un nettoyage avant et après utilisation de la zone.

Masques

2 lots de 50 masques sont à disposition à bord dans le poste (stock suivi par la maintenance). 2 lots de 50 masques de secours par vol se trouveront dans les trolleys pour équiper les passagers qui auraient oublié ou endommagé leur masque.
14 masques seront stockés dans la trousse premiers secours (plombés)

Un kit UPK plombé avec 14 masques (dont 2 FFP2) est également présent. Il est réservé pour une utilisation en cas de suspicion de COVID à bord.
Quand le PN souhaite ôter temporairement son masque pour boire par exemple, il devra saisir son masque par l’élastique d’un seul coté.

Visières

HOP a réceptionné les mêmes visières qu’Air France pour les PNC. Il est envisagé de mettre les visières directement dans l’avion dans un logement qui sera précisé (le logement du CLB est envi- sagé). Ce point sera confirmé à l’issu du premier vol de déstockage.

Commercial

Le service est supprimé. Les PNC n’auront pas à manipuler les rideaux. Les revues AF et les coussins ont été retirés. Seules des bouteilles d’eau et quelques dosettes de café seront à bord.

Salle PN CDG

La réouverture du 2G n’étant toujours pas actée, un déménagement de la salle PN au 2F dans une salle uti- lisée par les équipages JOON auparavant pourrait être envisagé. Rien n’est encore acté.

RTC

Le lundi 04 mai, un CSSCT extraordinaire com- mun s’est tenu afin de mettre en place un plan d’actions et de moyens sanitaires en vue de la reprise d’activité.

La reprise se fera début juin pour les RTC. Les groupes seront plus petits que d’habitude pour respecter la distanciation sociale. Les salles de cours seront aménagées afin de laisser 4m2 par stagiaire. Le respect des gestes et le port des masques seront obligatoires.

Il n’y aura pas de feu/fumée cette année (module obligatoire tous les 3 ans). Le cours de secourisme sera revu afin de limiter les contacts physiques et les EPU en maquette seront également modifiés (par ex : pas de scénarios de dépressurisation avec utilisation des masques 02). L’hébergement devrait se faire au Novotel de Rungis.

DOTATION

Une dotation de protection individuelle vous sera prochainement envoyée par la poste. Ce kit sera composé de 50 masques chirurgicaux et d’un flacon de 100 ml de gel hydro-alcoo- lique. Cette dotation est destinée pour nos trajets domicile – salle PPV – avion ainsi que pour le trajet de retour à domicile. Cette dotation devrait nous permettre de tenir 6 semaines compte tenu du peu de vols que nous effectuerons au départ.

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Depuis le début du confinement, les différentes réunions faites avec la Direction s’effectuent par Skype ce qui rend les prises de paroles compliquées et les échanges difficilement constructifs avec les OSR…

La dernière réunion du CSE s’est déroulée le 30 avril. Les sujets suivants ont été abordés :
- vote pour l’approbation des procès-verbaux du CSE ordinaire du 26 mars et des CSE extraordi- naires des 20 mars et 23 avril.
- La consultation des élus sur le licenciement de 5 PNT pour donner suite à la fermeture du secteur ATR
- La fermeture anticipée du secteur ERJ
- Un point sur la flotte de hop
- La protection des données personnelles

DGI

Un Droit d’Alerte pour Danger Grave et Imminent a été déposé par les élus dans le but de mettre en lumière la détresse des personnels de HOP, notamment sur les risques psychosociaux que chaque salarié vit de- puis l’arrêt total de notre activité ainsi que du manque d’informations sur son propre devenir, de l’isolement et ce malgré les forums, les appels télépho- nique à certains PNC, FAQ… Pensez-vous franchement que les mesures prisent à votre égard soient suffisantes, que vous soyez bien accompagné et que cela vous permet de garder le lien avec votre entreprise ?

De ce fait, nous avons déposé un DGI et TOUTES LES ORGANISATIONS SYNDICALES DEBAT- TRONT CE LUNDI A 10H00 POUR SAVOIR SI CELUI-CI DOIT ÊTRE LEVÉ OU PAS !

Nous espérons obliger la Direction à faire preuve de plus de transparence dans cette période très anxiogène.
Nous avons demandé la tenue d’un CSE extraordinaire avec la présence de Ben Smith et d’Anne Rigail. La Direction a refusé catégoriquement. P.O Bandet semble être l’homme de la situation, en- dossant ses pleines responsabilités comme annoncé par lui-même en séance !

La Direction s’engage :
- A poursuivre son plan de communication… Avait-il commencé ?
- A convoquer un CSE extraordinaire le 22 mai.
- A organiser des réunions bilatérales avec les OS représentatives en amont de ce CSE .

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Au vu de la conjoncture actuelle, vous êtes nombreux à nous avoir contactés afin de savoir s’il était possible d’exercer un autre emploi durant la période d’activité partielle.

LA REPONSE EST OUI : Rien n’empêche un salarié placé en activité partielle d’occuper un autre emploi pendant toute cette période, sous réserve que son contrat de travail ne contienne pas une clause d’exclusivité.

« Sans mention expresse d’une telle clause dans son contrat de travail, il ne pourra être opposé au salarié un impératif d’exclusivité vis-à-vis de son employeur », pré- cisent les textes de loi.

Si vous exercez une autre activité, veillez bien à ce que les mesures de protections sanitaires liées au COVID-19 soient bien présentes dans cette entreprise.

Le salarié se doit toutefois de respecter son obligation de loyauté et de non concurrence. « Ceci implique que le salarié ne doit pas travailler pour le compte d’un autre employeur concurrent ou pour son propre compte de manière concurrente à son employeur ».

Le salarié doit bien veiller à informer son employeur de sa décision d’exercer une ac- tivité professionnelle chez un autre employeur pendant la suspension de son contrat de travail en précisant le nom de l’employeur et la durée prévisionnelle de travail. En revanche, il s’agit juste d’une information et non d’une demande d’approbation.

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